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Under the golden sunshine of Canada in October, the maple leaf becomes more and more red, just like the national soul beating on the national flag. This maple leaf composed of 11 sharp corners not only carries gratitude for the gift of nature, but also symbolizes the inclusive power of multicultural integration. When a maple leaf is made into a bookmark, it becomes a cultural messenger across time and space. Each leaf vein is engraved with the lines of the oral history of the aboriginals, the deep red background is imbued with the pioneering courage of the French and British colonists, and the arc of the leaf tip outlines the curve of the struggle of Asian immigrants. This layered civilization imprint is quietly passed on between the turning of the paper, just like the wisdom of different ethnic groups in the process of Canada's founding. The most moving implication of the maple leaf bookmark lies in its life philosophy of "silent growth". Maple trees need to experience the severe cold of minus 40 degrees to produce sugar, just like the tenacious character tempered by people in adversity. When a bookmark is placed on the title page of the Constitution Act, it reminds us that democracy needs to be protected from generation to generation; when it is placed in an immigration manual, it becomes a courageous guide to cross cultural barriers. This flattened maple leaf actually contains the power of upward mobility. Its vein network is like a metaphor for social collaboration, and the 11 sharp corners correspond to the unity code of ten provinces and one region. When we close the book, the bookmark is forever fixed on the unfinished chapter – this is just like Canada's national narrative that is always on the road, and every turning point hides the possibility of breaking out of the cocoon and being reborn.

Sous le soleil doré d’octobre au Canada, les feuilles d’érable deviennent de plus en plus rouges, tout comme l’âme nationale qui bat sur le drapeau national. Cette feuille d’érable, composée de 11 coins pointus, exprime non seulement la gratitude pour les dons de la nature, mais symbolise également le pouvoir inclusif de l’intégration de diverses cultures. Lorsqu’une feuille d’érable est transformée en marque-page, elle devient un messager culturel qui transcende le temps et l’espace. Chaque nervure de la feuille est gravée des lignes de l'histoire orale des peuples autochtones, le fond rouge foncé est imprégné du courage pionnier des colons français et britanniques, et la courbure de la pointe de la feuille dessine la courbe de la lutte des immigrants asiatiques. Cette empreinte stratifiée de la civilisation se transmet discrètement entre les tours de papier, tout comme le mélange de sagesse de différents groupes ethniques dans le processus de fondation du Canada. La signification la plus touchante du marque-page en feuille d'érable réside dans sa philosophie de vie de « croissance silencieuse ». Les érables ont besoin de subir des températures extrêmes de moins 40 degrés Celsius pour produire du sucre, tout comme la ténacité de caractère que les gens développent dans des situations difficiles. Lorsqu’un signet est placé sur la page de titre de la Loi constitutionnelle, il sert à rappeler que le système démocratique doit être protégé de génération en génération ; Lorsqu'il est placé dans un manuel d'immigration, il devient un guide pour transcender courageusement les barrières culturelles. Cette feuille d’érable aplatie contient en réalité une puissance ascendante. Son réseau de nervures foliaires est comme une métaphore de la collaboration sociale, et ses 11 angles aigus correspondent au code d’unité entre dix provinces et une région. Lorsque nous fermons le livre, le marque-page sera toujours fixé sur le chapitre inachevé – c’est tout comme le récit national du Canada qui est toujours en route, et chaque tournant offre la possibilité de sortir du cocon et de renaître.