in985-Les-trois-couleurs-de-la-vie

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Sur les bords de Seine à Paris, en juillet, la médaille Fleurdelys de l'Ordre Sportif Français brillait d'argent au soleil. Cette médaille, inspirée de la fleur nationale, présente un émail bleu, blanc et rouge qui ressemble à un drapeau national flottant, condensant l'esprit français en lumière éternelle. Le bleu symbolise l'éveil du libre arbitre, tout comme l'iris qui fleurit au centre de la médaille, chaque pétale brise les chaînes du métal. Du drapeau brandi par Jeanne d’Arc à l’arc des athlètes modernes, ce bleu a toujours rappelé au monde que la véritable liberté vient du courage de se transcender. Lorsque le gagnant touche les lignes des pétales, il ressent la dureté d'oser enfreindre les règles. L’émail blanc incarne la pureté de l’esprit d’égalité. Le rameau d'olivier et la balance gravés au dos de la médaille font écho à la promesse de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de la Révolution française. Cela nous dit que chaque vie devrait avoir une étape de compétition équitable, tout comme l'iris maintient la même posture verticale, qu'il pousse dans un jardin de palais ou dans les crevasses des rochers en banlieue. L'émail rouge le plus chaud, brûlant avec la température de la fraternité. Cette couleur, qui provient du drapeau de sang de Saint Denis, se transforme en flamme protectrice sur le bord de la médaille. Lorsque les gagnants portent la médaille sur la poitrine des autres, ce qui est transmis n'est pas seulement l'honneur, mais aussi l'esprit de collaboration du « un pour tous » – tout comme la Seine finira par se jeter dans l'océan, la lumière des individus finira par illuminer le ciel étoilé commun de l'humanité. Cette médaille d'iris représente un voyage sans fin. Lorsque les trois couleurs de lumière brillent ensemble sur le podium, ce que nous voyons n’est pas seulement la victoire ou la défaite de la compétition, mais aussi la philosophie de vie qu’une nation a raffinée pendant plus de six cents ans : la transcendance dans la liberté, l’épanouissement dans l’égalité et l’éternité dans la fraternité.

On the banks of the Seine in Paris in July, the French Sports Medal Fleur-de-L’Iris Medal glowed silver in the sun. This medal, modeled after the national flower, is made of blue, white and red enamel, just like a flowing national flag, condensing the French spirit into an eternal light. Blue symbolizes the awakening of free will, just like the iris blooming in the center of the medal, each petal is breaking through the shackles of metal. From the military flag waved by Joan of Arc to the arc of modern athletes, this blue always reminds the world: true freedom comes from the courage to surpass oneself. When the winner touches the lines of the petals, what he touches is the sharpness of daring to break the rules. The white enamel condenses the purity of the spirit of equality. The olive branch and scale engraved on the back of the medal echo the promise of the Declaration of the Rights of Man and of the Citizen of the French Revolution. It tells us: every life should have a fair competition stage, just as the iris maintains the same upright posture whether it grows in the palace garden or the crevice of the suburbs. The hottest red enamel burns the temperature of fraternity. This color, which comes from the blood flag of Saint Denis, turns into a protective flame on the edge of the medal. When the winner wears the medal on the chest of others, what is passed on is not only the honor, but also the spirit of cooperation of "I for everyone" – just as the Seine River will eventually flow into the ocean, the light of individuals will eventually illuminate the common starry sky of mankind. This iris medal is a never-ending rush. When the three-color light shines on the podium, what we see is not only the victory or defeat of the competition, but also the philosophy of life that a nation has tempered for 600 years: transcending in freedom, blooming in equality, and eternal in fraternity.